Magazine: Après le décès de sa maman par un arrêt cardiaque, le soldat se mit à pleurer “je lui ai rendu la vie amère”.

Après le décès de sa maman par un arrêt cardiaque, le soldat se mit à pleurer “je lui ai rendu la vie dure”.
 
“Aujourd'hui j'ai rencontré un soldat qui pleurait à la station de bus à Afula”, écrit Ezra. “Je lui ai demandé pourquoi il pleurait, au début il ne m'a pas répondu, mais après quelques instants il m'a raconté que sa maman était décédée d'un arrêt cardiaque le mois précédent. J'ai essayé de le consoler mais il m'a répondu : ''sache une chose mon frère c'est que ces larmes sont pour toutes les choses que je n'ai pas eu l'occasion de lui dire''
Il y a un proverbe qui dit que seulement après avoir perdu une chose sait on l'apprécier. Un jeune répondant au nom de Eliasaf Ezra a écrit le message suivant. Un message qui nous fait pleurer mais en même temps nous fait prendre conscience de l'importance du respect des parents, un des commandements des plus important souvent laissé en reste
 
“Aujourd'hui j'ai rencontré un soldat qui pleurait à la station de bus à Afula”, écrit Ezra. “Je lui ai demandé pourquoi il pleurait, au début il ne m'a pas répondu, mais après quelques instants il m'a raconté que sa maman était décédée d'un arrêt cardiaque le mois précédent. J'ai essayé de le consoler mais il m'a répondu : ''sache une chose mon frère c'est que ces larmes sont pour toutes les choses que je n'ai pas eu l'occasion de lui dire…''.
 
Ezra a saisi l'occasion pour demander au soldat ce qui le tracassait. “Il faut que vous compreniez, Maman souffrait si j'avais la moindre douleur” s'est confié le soldat, “elle travaillait à 3 différents endroits pour ne pas que j'aille dormir sur ma faim. Elle attendait que je revienne de l'armée pour laver mon uniforme. Quand je sortais avec des copains elle m'attendait jusqu'à 3 et 4 heures du matin. Elle restait toujours réveillée et ne partait dormir qu'après s'être assurée de mon bien être.
 
“Maman était mon armée, mon avocat… celle qui me portait quand mes pieds se fatiguaient, je représentais tout son univers et était en tête de sa pyramide.
 
“Et moi je n'étais pas un enfant facile. Je lui ai rendu la vie dure. Je n'appréciais pas la nourriture qu'elle m'achetait, je ne lui téléphonais jamais c'était toujours elle qui m'appelait et moi qui abrégé la conversation.”
 
Le soldat continuait à décrire à Ezra le nombre de faveurs que sa maman lui rendait même quand elle était fatiguée ou qu'elle n'avait pas le moral. Même quand j'avais la boulimie à minuit elle me préparait un repas. Et moi je lui faisais la tête quand elle me demander de lui brancher la télévision.
 
“Maman s'est déchiré pour moi et a renoncé à tous ses rêves pour que je puisse mener une vie agréable. Et moi j'étais un véritable imbécile, je perdais mon temps dans des clubs de nuit au lieu d'être à ses côtés. Je pensais qu'elle serait éternelle et considérait sa présence comme une trivialité.”
 
C'est là que le soldat se mit à pleurer à gros sanglots et d'une vois étouffée continuait son monologue : ” il y avait une fois quelqu'un qui me prenait pour le centre du monde, aujourd'hui je suis une loque, Maman je suis l'ombre de ce que j'étais, un morceau de chair sans cœur…”.
 
Quand le soldat finissait ses paroles Ezra tourna la tête pour ne pas qu'il voie les larmes qui coulaient librement sur ses joues. Les deux se séparaient en s'enlaçant et la première chose que fit Ezra après avoir quitté, fut d'appeler sa Maman: “Maman je t'appelle pour te dire que tu es toute ma vie, au cas où tu ne le savais pas”.
 

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Après le décès de sa maman par un arrêt cardiaque, le soldat se mit à pleurer “je lui ai rendu la vie dure”.
 
“Aujourd'hui j'ai rencontré un soldat qui pleurait à la station de bus à Afula”, écrit Ezra. “Je lui ai demandé pourquoi il pleurait, au début il ne m'a pas répondu, mais après quelques instants il m'a raconté que sa maman était décédée d'un arrêt cardiaque le mois précédent. J'ai essayé de le consoler mais il m'a répondu : ''Sache une chose mon frère c'est que ces larmes sont pour toutes les choses que je n'ai pas eu l'occasion de lui dire''
Un proverbe connu nous dit que c'est seulement après avoir perdu une chose que l'on sait l'apprécier. Un jeune répondant au nom de Eliasaf Ezra a écrit le message suivant. Un message qui fait pleurer, mais qui, en même temps nous fait prendre conscience de l'importance du respect des parents, un commandement d'une importance capitale, souvent laissé en reste
 

Ezra a saisi l'occasion pour demander au soldat ce qui le tracassait. “Il faut que vous compreniez, Maman souffrait si j'avais la moindre douleur” s'est confié le soldat, “elle travaillait dans trois endroits différents pour ne pas que j'aille dormir sur ma faim. Elle attendait que je revienne de l'armée pour laver mon uniforme. Quand je sortais avec des copains elle m'attendait jusqu'à 3 et 4 heures du matin. Elle restait toujours réveillée et ne partait dormir qu'après s'être assurée de mon bien être.
 
“Maman était mon armée, mon avocat… celle qui me portait quand mes pieds se fatiguaient, je représentais tout son univers et était en tête de sa pyramide.
 
“Et moi je n'étais pas un enfant facile. Je lui ai rendu la vie dure. Je n'appréciais pas la nourriture qu'elle m'achetait, je ne lui téléphonais jamais. C'était toujours elle qui m'appelait, et moi qui abrégeait la conversation.”
 
Le soldat continuait à décrire à Ezra le nombre de faveurs que sa maman lui rendait même quand elle était fatiguée ou qu'elle n'avait pas le moral. Même quand j'avais la boulimie à minuit elle me préparait un repas. Et moi je lui faisais la tête quand elle me demandait de lui brancher la télévision.
 
“Maman s'est a tout donné pour moi et a renoncé à tous ses rêves pour que je puisse mener une vie agréable. Et moi j'étais un véritable imbécile, je perdais mon temps dans des clubs au lieu d'être à ses côtés. Je pensais qu'elle serait éternelle et considérais sa présence comme une évidence.”
 
C'est là que le soldat se mit à pleurer à gros sanglots et d'une voix étouffée, continua son monologue : ” Il y avait une fois quelqu'un qui me prenait pour le centre du monde, aujourd'hui je suis une loque. Maman je suis l'ombre de ce que j'étais, un morceau de chair sans cœur…”.
 
Quand le soldat eut terminé, Ezra tourna la tête pour ne pas qu'il voie les larmes qui coulaient aussi sur ses joues. Les deux se séparèrent en s'enlaçant. 

La première chose que fit Ezra après l'avoir quitté, fut d'appeler sa mère : “Maman je t'appelle pour te dire que tu es toute ma vie, au cas où tu ne le savais pas”.
 

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