La techouva de Liate Greenberg

De quoi selon vous aurai l’air le monde si dans chaque génération il n’y aura qu’un humain qui serai capable de voir alors même que tout le reste du monde est frappe de cécité? Cette question théorique prend forme lorsqu’il s’agit d’un film que Liat Greenberg a réalisé.
 
Le film présente les premières étapes de la techouva que traversent quasiment tous ceux qui choisissent ce chemin, et il fait ça à travers une histoire imaginaire et passionnante sur un monde entier dans lequel il y aura qu’une personne qui verrait et c’est le seul qui réussit à voir la vérité.
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De l’armée au séminaire
L’histoire de la vie prive de Liate commence il y a de ca quelque annees lorsqu’ele a acheve son service a l’armée et elle a commencée à se renforcer et à se rapprocher du judaïsme. “Jusqu’à ce jour ca m’était clair que mon premier plan après l’armée est d’apprendre cinématographie et de passer un diplôme” elle  explique, c’est un domaine qui me parler quand j’étais a l’école des arts et c’est la bas que j’ai acquis les bases du métier.
Seulement à cette époque il Ya eu un un renforcement spirituelle qui lui a changé les plans. “Il s’agit de jours ou j’été très attire par le judaïsme. Ma grande sœur a fait téchouva quelques années auparavant, elle s’est mariée et elle a eu des enfants. J’ai vu comment elle les éduquer et ça m’a touché. Je me suis dit: “c’est une maison comme ça que je veux fonderais je veux être. J’ai très vite compris que si ce sont mes projets et c’est cette Jewish Websitemaison que je veux fonder alors je vais devoir moi-même réaliser un changement dans ma vie”.
“Ainsi” elle raconte, j’ai commencé par effectuer le changement de manière très authentique. A ma joie j’ai découvert à cette période les conférences du rav zamir cohen et je les écoutes sans arrêt. Je me suis ouvert une sorte de séminaire a la maison et j’écoute les conférences du matin au soir. Parfois même, cinq conférences par jour. Je raconte aussi à ma mère et a toute la famille les conférences et les répètes jusqu’a qu’il ne pouvait plus m’entendre. “Maintenant” elle ajoute, avec du recul je comprends que j’ai fait erreur. Ce n’est pas la bonne manière pour influencer sur l’entourage mais j’été emballe par l’éclat des lumières. Je parlais judaïsme et respirais judaïsme. J’ai arrêté de m’intéresse a d’autres choses et ce alors que j’été inscrite pour passer un diplôme de premier plan.  Extérieurement il n’était pas possible de distinguer le changement qui s’été produit chez moi, mais intérieurement j’été convaincue ne pas pouvoir étudier a l’université dans laquelle je m’été inscrite car elle est contraire aux notions minimales de pudeur et l’ambiance ne conviens pas.
Lait précise que lorsqu’elle a compris tout cela il n’y avait plus de place pour le moindre doute. J’ai fait savoir à la direction que je me désinscris car j’ai décidé de revenir à la source et ils m’ont regardé comme si je tombe de la lune. Ensuite j’ai continué à chercher des endroits où on enseigne la cinématographie de façon pudique, mais je n’ai pas trouvé. Rien ne me convenait même si c’est vrai qu’extérieurement je ne paraissais pas religieuse mais en mon for intérieure je brule pour D.ieu.J’ai compris que j’allais devoir renoncer à mon rêve de faire du cinemaqui m’accompagne jewish torahdepuis l’Age de seize ans mais ça ne m’a pas attristé. J’ai compris qu’il y avait des choses plus importantes. J’étais entière avec moi”.
Et que fais une fille qui n’a pas ou passer son diplôme?  “J’ai décidé que je voulais étudier au séminaire surprend Laite, “je me suis dit que si je dois renoncer au métier que j’aime tant au moins je me soucie de ma spiritualité”. Seulement j’ai vite compris que ça n’été pas évident. “Je suis passe de séminaire en séminaire j’ai traversé tout le pays et je n’ai rien trouvé qui me convienne .Je ne me suis attache a aucun endroit, mon amé n’a pas trouvé d’accroche.
Avec les  recherches du séminaire est arrivée aux oreilles de Laite une rumeur comme quoi allait s’ouvrir des études juives de cinématographie a Yade Benyamin. “Soudain tous mes anciens rêves ont ressurgis” elle raconte, j’ai été convie pour un entretien avec le directeur et lorsqu’il ma parler des études qui se déroule dans la décence et dans une ambiance de Tora ça m’a conquis, mais déjà sur place à l’entretien je lui aie fait savoir qu’il se peut que je ne vienne pas en fin de compte pour les études car je suis en recherche de séminaire et je ne sais pas comment ça va se combiner avec les études. Ilm’a écouté et il m’a dit t’en passant: “il y a aussi un séminaire”. Jet soufflé: “un seminaries ice? A yard Binyamin?
Depuis le chemin était simple et rapide.Liate est parti s’inscrire au séminaire et elle a compris que c’était précisément l’endroit qu’elle cherchait-un séminaire avec des filles bien, un bon entourage et beaucoup de spiritual. “J’ai étudié au séminaire deux ans durant et j’ai combiné ça avec les études de cinématographie” elle raconte, “ j’ai profité de chaque instant”.
 
 Ouvrez les yeux 
 
Prochainement le film de Laite qui s’intitule rendre la vue sort  et il est entièrement fonde sur l’expérience spiritual qu’elle a vécu. “Ce film est imaginaire et traite de l’avenir ”explique Liate “il décrit un monde frapper par une épidémie qui entraine la cécité pour toute l’humanité et suite à quoi tout le monde nait aveugle. De fait les gens perçoivent le monde de manière erronée. Il n’y a qu’un homme à travers chaque génération qui nait avec la vue.
 
“Le héros du film est Barak Landau, lui aussi est né non voyant comme tout le monde seulement un jour il écoute une mélodie particulière et authentique- la mélodie du Baal chez tv. Jusqu’alors Baraks savait jouer de instrument                       
 

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