2. « L’étude ne s’ancre chez l’homme qu’à travers la modération et le calme »
3. « La parole et les traits de caractères nécessitent beaucoup d’entrainement »
4. « Le Racha sait pertinemment que son comportement est néfaste, seulement il peine à s’en défaire ».
5. « Chaque fois que l’homme se retient de parler mérite grâce à cela, la lumière cachée qu’aucun ange et aucune créature ne peuvent appréhender »
6. « L’essentiel pour accéder au monde futur consiste dans le fait de préserver sa bouche de paroles négatives, et cela prévaut à toute la Torah et les Mitsvoths »
7. « C’est pour cela que je te préviens de t'efforcer autant que possible d’être seul, car les fautes liées à la parole sont gravissime. Et c’est inutile de s’allonger sur cette faute qui est plus grave que tout autres. « Tout le labeur de l’humain est pour sa bouche » (Kohelet 6,7), nos Sages disent que toutes les mitsvoths et l’étude de la Torah de l’homme ne font pas le poids contre ce qu’il profère avec sa bouche (de négatif) ».
8. « Aussi je te demande de la manière la plus expressive possible, de faire extrêmement attention de guider tes filles pour qu’elles ne profèrent jamais d’insultes, de malédictions, de serments de mensonge, ni de polémique, mais uniquement des paroles de paix accompagnées d’amour, dans l’affection et le calme ».
9. « Et jusqu’au jour de sa mort, l’homme doit se faire violence et ce non pas par le biais de jeûnes, mais uniquement en retenant sa bouche et ses envies, c’est cela la téchouva. C’est là que sont tous les fruits du Monde à venir, et cela prime sur toutes les mortifications et les jeûnes du monde. Et à chaque fois que l’homme se retient de parler, il mérite grâce à cela une lumière cachée qu’aucun ange et aucune créature ne peuvent appréhender ».
10. « Aussi je te demande de respecter ma mère, comme il est écrit dans la Torah, et en particulier concernant une veuve. C’est une faute fatale que de l’attrister même par un geste anodin. Et aussi je demande à ma mère que la paix règne entre vous, que chacune réjouisse l’autre par des paroles positives car c’est une grande mitsva ».