Judaïsme et couple : la bonté envers le conjoint augmente le bien-être mental (le vôtre)

Judaïsme et couple :
 
Selon les résultats d'une nouvelle recherche : la bonté envers le conjoint augmente le bien-être mental (le vôtre)
Quoi de mieux ? Choyer son conjoint ou attendre de se faire choyer ?
Une nouvelle recherche américaine a étudié le sujet et nous rapporte des résultats importants.
 
Quoi de mieux ? Donner ou recevoir ? Une nouvelle étude américaine prouve que du point de vue santé il vaut mieux donner que recevoir – surtout envers votre conjoint.
 
Harry Reiss professeur en psychologie à l'université de Rochester aux Etats Unis a mené une enquête sur 175 couples américains. “Le but de notre enquête était de rechercher si une démonstration de compassion envers autrui améliorait la situation du 'donnant'”.
 
Les psychologues ont demandé aux 2 conjoints de documenter sur une durée de 2 semaines toutes les fois durant lesquelles un d'eux avait eu l'opportunité de s'efforcer envers son conjoint de céder ou de sortir de ses gonds afin de faire plaisir au conjoint. D'autres parts ils devaient remplir un questionnaire qui suivait de près leur santé morale.
 
Les couples ont reporté avoir donné 0.65% et reçu 0.59% en moyenne. Les différentes situations incluaient un changement de programme, une expression d'amour ou une action qui prouvait l'appréciation du conjoint.
 
Avant de commencer leur enquête les chercheurs avait assumé que la personne qui s'était efforcée ressentirait le plus grand effet qu'une fois que son effort aurait été reconnu par le conjoint car cette reconnaissance lui donnerait le sentiment d'être apprécié. Bien que cette supposition s'avérât véridique les chercheurs ont remarqué un autre phénomène.
 
“Il est bien entendu que pour y gagner émotionnellement il faut que le conjoint soit conscient de la faveur qu'il a reçue mais cette reconnaissance est beaucoup moins importante pour le 'donnant'”. Ils ont découvert que le ou la conjointe qui avait agi en faveur d'autrui se sentait beaucoup mieux même quand le deuxième côté n'exprimait aucune reconnaissance envers leur action. La satisfaction qu'il ou elle dérivait de l'action positive envers le conjoint leur donnait 45% de plus de satisfaction que celui qui avait été l'objet de leur faveur. Par exemple si le mari avait découvert en allant au travail que la fenêtre de la voiture de son épouse était couverte de neige et qu'il l'avait nettoyé, il se sentait il se sentait beaucoup mieux tout le long de la journée même s'il n'avait aucune preuve que son épouse s'était rendue compte de ce qu'il avait fait pour elle.
 
A Reiss de conclure : “il n'y a aucun doute que la compassion envers autrui récompense la personne qui en a fait preuve”.
 
Suite aux résultats de la recherche Reiss et ses collègues ont commencé une nouvelle recherche, celle de savoir quelle influence émotionnelle y'aurait-il sur celui qui dépenserait son argent envers autrui. Ils supposent que dépenser son argent pour aider son prochain aurait pour résultat d'augmenter le moral du 'donnant' à condition qu'il le fasse pour en bénéficier le récipient et nous à des fins égoïstes.
 
 
 
 

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