Une personne qui a mérité un grand miracle, est-ce qu’il est mieux de diffuser son histoire ou faut-il craindre le mauvais œil ?

Un juif est venu trouver Rav Zilberstein avec la question suivante. « J'ai bénéficié d'un grand miracle. D'un côté, j'aimerais en faire part à mes amis pour ensemble remercier l'Eternel. Cependant j'hésite car je crains que de diffuser en public les largesses dont j'ai été gratifié m'apporte le mauvais œil. » Qu'en est-il ?

Rav Yitzhak Zilberstein Rabbi a posé la question à son beau-frère Maran Rabbi Chaim Kanievsky. Sa réponse : il faut raconter les merveilles du Tout-Puissant .

parshah

Lorsque le Temple de Jérusalem existait, un des sacrifices s'appelait le « korban toda ». Il était apporté par celui qui voulait remercier D.ieu pour un bienfait. Il était accompagné de 40 pains et sa consommation était limitée jusqu'au matin. Le « Haamek Davar » explique que cette courte durée contraignait ceux qui apportaient les sacrifices à offrir un repas auquel participait de nombreuses personnes. De cette manière, la bonté particulière de l'Eternel envers ces personnes était diffusée et connue d'un large public.

Ici aussi, il faudra préférer remercier D.ieu pour ses largesses sans craindre d'attirer le mauvais œil.

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